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ABCD

ALLEGORIE

Figure ou groupe de figures représentant en peinture ou en sculpture des personnages incarnant des abstractions et souvent reconnaissables à des attributs.

APLAT

Teinte étendue uniformément.

ARABESQUE :

Ornement peint ou sculpté composé de lignes ou de feuillages entrelacés dessinant des sinuosités et à l'exclusion de toute représentation anthropomorphique.

AQUARELLE

Peinture exécutée avec des couleurs délayées dans l'eau, sur une feuille de papier ou un carton dont le grain demeure visible par transparence.

ARGENTURE

Mince couche d'argent appliquée à la surface d'un objet de bois ou de métal.

ART ABSTRAIT

Terme qui définit une oeuvre ne cherchant pas à représenter une réalité identifiable comme un personnage, un paysage ou un objet.

ART BRUT

Notion mise en avant par J.Dubuffet (1945) pour qualifier la production artistique de personnes "indemnes de culture".

ART DECO (1920-1930)

Très inspiré des lignes géométriques du Cubisme, style qui s'illustra dans les années 1920-1930, notamment avec S. Delaunay, E. Ruhlmann, R. Lalique, Erté, Le Corbusier, J. Dunant, R. Subes, J. Leleu, P. Poiret. Ce mouvement artistique touche à toutes les formes de l'architecture et de la décoration intérieure : meubles, tissus, papiers peints, lampes, pièces d'orfèvrerie, travaillés par les créateurs dans des matériaux souvent luxueux pour décorer les maisons des gens fortunés épris de modernité, avec l'intention de retrouver la valeur qu'on accordait au XVIIIe siècle à l'oeuvre originale.

ART MODERNE (1863-1960)

L'art moderne (1863-1960) prend naissance à la fin du XIXeme siècle, à une époque où la société est en pleins bouleversements technologiques : invention de la photographie, du télégraphe, du chemin de fer, etc... Plusieurs mouvements artistiques remarquables par leur créativité et leur audace, vont apparaître en se succédant ou en se superposant : l'Impressionnisme, le Fauvisme, le Pointillisme, le Cubisme, le Futurisme, le Surréalisme, le Dadaïsme.

On les regroupe sous le terme d'art moderne.

ART NOUVEAU (1890-1910)

Mouvement d'art décoratif développé entre 1890 et 1910 prenant la nature comme principale source d'inspiration; il se caractérise par des lignes sinueuses, courbes et arabesques, formes organiques représentant plantes et insectes de toutes sortes. L'exposition de Nancy révèle le mouvement en 1894. On l'appelle modern style dans les pays anglo-saxons, jugendstil dans le monde germanique, secession à Vienne, stile liberty en Italie et modernismo en Espagne. En france, on parle aussi de style nouille ou style métro. De grands noms ont illustré ce mouvement : l'architecte français Hector Guimard qui crée les décors extérieurs du tout nouveau métro de Paris inauguré en 1900, l'architecte belge Victor Horta à Bruxelles, l'architecte Antoni Gaudi à Barcelone (Espagne), également Emile Gallé, René Lalique, les frères Daum grands noms de la verrerie, Louis Majorelle et Eugène Vallin pour le mobilier, et à l'étranger R.Mackintosh, Ph. Webb, H. Van de Velde, S. White, L. Comfort Tiffany.

ARTS PREMIERS

Les arts premiers définissent l'ensemble des réalisations artistiques (statuettes, masque, tambours, costumes, coiffures, totems, etc.. faits à la main de manière artisanale) produites par des hommes qui n'ont connu ni la société de consommations, ni l'industrialisation, que ce soit en Afrique, en Asie, en Océanie ou en Amérique.

BARBOTINE

Pâte fluide utilisée en céramique pour confectionner par coulage des pièces ou des motifs décoratifs de porcelaine tendre. On donnait ce nom au XIXe siècle à une pièce décorée de motifs végétaux en haut relief ou peints de façon à offrir un aspect rugueux et épais.

BAROQUE (1580-1760)

Style né à Rome en Italie à la fin de la Renaissance, pour s'opposer à l'austérité et à la rigueur prônées par la Réforme protestante en 1517; il s'exerce en architecture, en peinture, en sculpture, en musique, en littérature et dans les arts décoratifs, et se caractérise par son côté majestueux, massif et chargé. Il exalte souvent la grandeur des pontifes (basilique Saint-Pierre de Rome conçue par Bernin) et l'absolutisme des princes, surtout en Italie, puis en Allemagne et en Autriche, moins en France où l'esprit cartésien tempère cet engouement pour l'excès.

BAUHAUS (1919-1933)

Centre d'enseignement esthétique et technique fondé en 1919 à Weimar en Allemagne par l'architecte Walter Gropius. Ses principales réalisations relèvent des arts décoratifs et de l'architecture et sont à l'origine du développement du design. Il fut fermé en 1933 par les nazis. La plupart de ses membres (L. Moholy-Nagy, Mies van der Rohe et Walter Gropius notamment) se réfugièrent en Suisse et aux Etats-Unis.

BISCUIT

Un biscuit est un objet en pâte de porcelaine qui n'est recouvert d'aucune glaçure et qu'on laisse dans sa blancheur mate sans peinture. Les biscuits français sont fabriqués à la manufacture de Vincennes dès le milieu du XVIIIe siècle mais c'est la Manufacture royale de Sèvres qui, sous la direction de Falconet, se spécialise dans ces objets représentant des scènes galantes ou champêtres.

BRONZE

Cet alliage de cuivre, d'étain, de zinc ou d'autres métaux comme le fer a été employé pour la fabrication d'armes (Moyen Age), pour garnir les portes des églises, pour la fabrication des cloches, mais également en sculpture, (statuaire décorative ou monumentale, comme dans le parc de Versailles) et en décoration. Au XVIIe siècle, il est utilisé pour le mobilier quand Boulle imagine de consolider ses décors de marqueterie par des bronzes.

BRONZE : CREATION

La création d'un bronze se fait à partir de l'oeuvre originale à reproduire qui est le plus souvent un plâtre, lui-même tiré en général d'une terre crue, mais parfois aussi de sculptures faites d'autres matières. Il existe deux techniques classiques pour fabriquer un bronze : cire perdue et fonte au sable; l'une et l'autre reposent sur un même principe : introduire l'alliage en fusion (de 75 à 90% de cuivre, le reste d'étain, de zinc et de plomb) dans un mince espace correspondant à l'épaisseur que l'on décide de donner au bronze. Dans les deux cas, dans les fonderies où la fabrication des bronzes est pratiquée, l'étape décisive et solennelle est l'instant de la coulée, pendant laquelle aucune erreur n'est permise.

Cire perdue et fonte au sable sont des techniques connues de très longue date, cire perdue dès la plus haute antiquité dans le bassin méditerranéen, proche-oriental, en Extrême Orient et en Afrique.

A noter : le mode de fabrication d'un bronze par l'une ou l'autre de ces deux techniques n'influe pas sur sa valeur. Un moule est d'abord tiré du modèle : il en reproduit fidèlement les moindres détails mais en creux, en "négatif" pourrait-on dire. Si l'on remplissait ce moule de bronze, on obtiendrait une statue pleine, très lourde et peu économe d'un alliage onéreux. Or, dans leur quasi-totalité, les oeuvres réalisées en bronze sont creuses. Aussi introduit-on à l'intérieur du moule, un noyau compact, et c'est entre ce noyau et le moule que se trouve ménagé le mince espace en question. Dans la technique de fonte à la cire perdue, la cire est essentiellement destinée à constituer ce mince espace que le bronze, en se substituant à elle, occupera par la suite. Elle est donc perdue à chaque tirage, d'où le nom donné à ce procédé.

CISELURE

On peut distinguer plusieurs techniques, dont la ciselure sur fondu, dont le but est de faire disparaître les bavures sur les pièces démoulées et affiner l'oeuvre.

EFGH

EAU-FORTE

Gravure obtenue en faisant mordre par l'acide nitrique une plaque de cuivre ou de zinc recouverte d'un vernis protecteur, sur lequel on a dessiné à l'aide d'une pointe qui a mis le métal à nu.

EDITION : EPREUVES

Le langage de la sculpture emploie une terminologie qu'il convient de préciser : aux XIXème et XXème siècles, un bronze n'est pas un original ou une pièce unique, c'est ce qu'on appelle une épreuve tirée d'un original généralement en terre ou en plâtre (voir BRONZE, CREATION). La date de la fonte de l'épreuve est distincte de celle de la création de l'original, et répond à la terminologie suivante, qui varie selon l'époque :

  • au XIXème siècle, et jusqu'au milieu du XXème siècle, les éditions ne sont pas limitées et rarement numérotées. Une épreuve qualifiée d'ancienne signifie qu'elle date de l'époque du vivant de l'artiste, elle est posthume si l'édition a été réalisée après la mort de l'artiste. Le terme "Circa" donne une idée de la date de fonte de l'épreuve, avec une marge d'une quinzaine d'années avant et après la date "Circa" indiquée (exemple : Circa 1880 signifie que l'épreuve a été fondue entre 1865 et 1895). Une épreuve dite "d'atelier" distingue le fait qu'elle a été réalisée sous le contrôle de l'artiste par son atelier, la précision tirage d'artiste précisant que celui-ci est intervenu personnellement dans sa fabrication. Après la mort du sculpteur, une épreuve authentique signifie qu'elle a été éditée dans les règles par un éditeur avec l'aval des ayants droits.

  • au XXème siècle, on voit apparaître progressivement la limitation des tirages (10, 15, 25 ou 50, pour finalement s'arrêter à 12 exemplaires) et la numérotation des épreuves. Depuis 1966, puis 1981, la législation française délimite l'Edition Originale : huit épreuves, plus quatre épreuves d'artiste.

ESTAMPE :

Image imprimée par le moyen d'une planche gravée; terme générique désignant toutes les images obtenues par la gravure.

FAÏENCE

Poterie, pièce de céramique à pâte opaque poreuse recouverte d'un émail qui la rend imperméable et permet un décor. Une faïence fine est une céramique composée d'une pâte blanche et compacte, qui n'a pas besoin d'être dissimulée sous un émail opaque, mais est simplement couverte d'un vernis transparent. C'est donc une terre vernissée.

FONTE (source : larousse)

Action, art de mouler certains objets, avec du bronze ou tout autre métal en fusion. À l'exception du fer, plus souvent forgé que fondu, tous les métaux utilisés dans l'ameublement : or, argent, cuivre, laiton, bronze, plomb, étain, aluminium, sont le plus souvent traités par la fonte. Les premières pièces fondues, dès la plus haute antiquité, furent des objets pleins, et ce n'est qu'après des siècles que l'on trouva le moyen d'en couler seulement l'enveloppe. Les procédés appliqués à cet effet sont de deux sortes :

La fonte à cire perdue : ce procédé consiste à couler, entre un noyau qui représente la forme à réaliser et une chape de terre surmoulée sur lui, une pellicule de bronze qui se substitue à la couche de cire interposée entre le noyau et l'enveloppe. Vaporisée par le jet en fusion, la cire s'échappe par les évents ménagés dans l'épaisseur du moule. L'Antiquité, le Moyen Âge ont pratiqué la fonte à la cire perdue : on coulait alors un bronze très mince grâce auquel ont été produits des ouvrages de grandes dimensions.

La Renaissance a maintenu cette tradition. Les exemples les plus admirables en sont le Persée de Cellini (1553) et le groupe funéraire de Henri II et de Catherine de Médicis, à Saint-Denis, fondu d'un seul jet, sans aucune bavure, par G. Pilon (1570). Sous le règne de Louis XIV, c'est à la cire perdue que les frères Keller ont exécuté les bronzes des jardins de Versailles. Le procédé est également utilisé dans la statuaire africaine.

La fonte au sable : cet autre procédé consiste à fractionner le modèle en plusieurs parties, qu'on moule respectivement en des châssis garnis de sable, lesquels recevront la coulée de bronze. Les pièces refroidies seront réparées à la lime et au burin, puis assemblées par des rivets. La plupart des bronzes d'édition sont exécutés de cette manière.

GRAVURE

Apparue au XVe siècle, un peu avant l'imprimerie, la gravure est une technique qui permet la reproduction sur du papier d'un dessin. Le modèle de dessin est gravé à l'envers sur un panneau de bois (taille d'épargne; xylographie), une plaque de métal (taille-douce), une pierre plate (lithographie); la gravure, ou estampe, est également le nom que l'on donne à la reproduction obtenue grâce à cette technique. D'abord colorées une par une à la main après leur impression, les gravures seront produites directement en couleurs à partir du XVIIe siècle.

IJKL

LAVIS

Dessin exécuté, teinté avec de l'encre de Chine, du bistre, de la sépia ou toute autre couleur délayée dans l'eau.

LITHOGRAPHIE

Inventée au XIXe siècle, la lithographie est un procédé de reproduction qui consiste à dessiner sur une pierre plate avec un corps gras, encre ou crayon, qu'on fixe à l'aide de gomme arabique; on passe ensuite sur la pierre un rouleau encré dont l'encre ne se dépose que sur les parties grasses. Le papier posé sur la pierre est appliqué par une presse, de telle manière que le dessin s'imprime. La lithographie est une oeuvre d'artiste, elle est signée et numérotée au crayon pour indiquer en particulier en combien d'exemplaires elle a été tirée. Une lithographie imprimée en dix exemplaires est plus rare qu'une lithographie imprimée en cent exemplaires (quantité maximum autorisée), elle aura donc plus de valeur que dans le second cas

MNOP

MAJOLIQUE

Faïence italienne de l'époque de la Renaissance, dont la fabrication fut introduite en Italie par des artisans des îles Baléares.

MANUFACTURE

Fabrique où l'on crée des oeuvres par un travail manuel à l'origine, aujourd'hui souvent mécanisé. Le mot s'applique en particulier aux fabriques protégées par le roi : manufactures de porcelaines de Sèvres, de Paris; manufactures de tapisseries des Gobelins, de la Savonnerie, de Beauvais, manufacture de papiers peints de Réveillon... Les manufactures furent surtout crées au XVIIe siècle, à l'exemple d'Henri IV et de Sully, par Louis XIV et Colbert; elles tendaient à encourager une production artistique française, à soulager les importations et à promouvoir les exportations. Elles permettaient aussi la création d'emplois dans les provinces comme à Paris. Ce sont des établissements où l'on fabrique des produits de luxe ou des produits exigeant un haut niveau de finition.

MARINE

Tableau de paysage apparu à partir du XVIIe siècle et dont le sujet principal est en lien avec l'univers marin.

MOULAGE

En sculpture, technique consistant à appliquer sur un modèle ou sur une sculpture un plâtre qui en prend l'empreinte et sert de moule d'où l'on tire par coulage ou estampage une épreuve.

NATURE MORTE

En peinture comme en gravure, composition représentant des animaux ou des objets inanimés.

OBJET D'ART

Terme générique désignant les productions des arts dits mineurs : orfèvrerie, ébénisterie, céramique, ivoires, bronzes, vitraux. Ces objets accèdent à la dignité artistique principalement au XIXe siècle, et sont consacrés comme relevant à part entière du domaine artistique grâce à l'art nouveau, puis les arts déco.

ORIENTALISTE

Mot formé sur Orient, attesté au moment de l'expédition de Bonaparte en Egypte. Peintre qui choisit ses sujets dans le monde oriental.

PANNEAU

En peinture, cela signifie que le support est en bois (charme, peuplier, chêne, pin, parfois acajou), revêtus d'un enduit. La peinture sur panneaux a été pratiquée au Moyen Age et cette technique s'est prolongée jusqu'au XVIIIe siècle.

PASTEL

Bâton de couleur composé de pigments broyés et agglutinés à l'eau additionnée de gomme, de talc, de savon ou de kaolin, dans un rapport variable selon que l'on veut des pastels durs, demi-durs ou tendres. Le support qui ne doit pas être lisse peut être un papier pelucheux, à grains ou un canevas préparé à la détrempe. Les couleurs sont fixées avec un agglutinant transparent.

PATINE

Oxydation naturelle qui se forme avec le temps sur les objets en bronze et en cuivre et dont la couleur varie selon l'alliage composant le bronze. Lustrage ou éclat d'un objet, atténué par le temps ou un traitement artificiel. Le marbre se couvre de concrétions brunâtres. Pour les bronzes, en-dehors de la patine naturelle qui est la couche qui se forme à sa surface, un sulfure dit "vert-de-gris", la patine artificielle permet d'obtenir des colorations dans les tons de bruns, de noirs, ou des éclats colorés.

QRST

REGENCE

Période marquée par le gouvernement de Philippe d'Orléans entre la mort de Louis XIV (1715) et la majorité de Louis XV (1723). C'est une période transitoire encore marquée par les caractères de la fin du règne précédent et qui annonce le style rocaille.

RENTOILAGE

Opération consistant à consolider ou à remplacer la toile originale d'un tableau quand elle est usée. Selon la gravité des déteriorations, on peut pratqiuer le rentoilage le plus simple qui consiste à coller au dos de la toile ancienne une toile neuve, ou le rentoilage dit "transposition" qui consiste à détacher la couche picturale de sa toile originale et à la replacer sur une toile neuve.

REPENTIR

Modification apportée par l'artiste à un tableau en cours d'exécution. les repentirs sont parfois visibles, quand la couche de peinture recouverte n'était pas assez sèche, mais généralement ils sont invisibles. Aujourd'hui l'analyse des tableaux aux rayons X en révèle souvent d'inattendus.

RESTAURATION

Art de remettre en état une oeuvre endommagée, tout en respectant la création d'origine. Ensemble des travaux de consolidation, remontages, reconstitutions, nécessités pour conserver un édifice, une peinture, une sculpture, un objet d'art en général.

RESTAURATION (style)

Style intermédaire entre le style Empire et le style Louis-Philippe; ce style affectionne les bois clairs, bois fruitiers, érable, citronnier, les formes souples et arrondies.

ROMANTISME

Courant artistique européen qui se développe par opposition au néoclassicisme, jugé trop classique, trop académique. En France, les grands maîtres de la peinture romantique sont Géricault et Delacroix, en Angleterre, Turner.

RONDE-BOSSE

Sculpture en plein relief, travaillée sur tous ses profils et autour de laquelle on peut tourner. S'oppose au relief (bas-relief, haut relief, demi-bosse) qui est sculpté sur un fond.

SALONS

Aujourd'hui, c'est une exposition temporaire d'oeuvres d'art. Autrefois, les salons étaient une source d'oeuvres littéraires (Diderot, Beaudelaire). A partir de 1725, l'Académie royale de peinture et de sculpture, puis l'Académie des Beaux-Arts, ont instauré l'exposition, tous les ans ou tous les deux ans, des oeuvres contemporaines agréées par elles, représentant l'art officel. Le XIXe siècle voit se multiplier les salons contestataires comme le salon des Indépendants, fondé en 1884 par Seurat.

SERIGRAPHIE

Procédé d'impression fondé sur le principe du pochoir et utilisant des écrans de soie.

TROMPE-L'OEIL

Manière de peindre cherchant à donner l'illusion du relief et de la réalité.

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VASQUE

Bassin de fontaine de forme circulaire et peu profond.

VERMEIL

Argent doré.

VERSEUSE

Cafetière munie d'une poignée droite perpendiculaire à son corps.

 

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